j'ai la peur de l'oiseau aveugle
qui n'ose nager, n'ose chanter
é pou van tée
c't'é pou vent able
craignant la cognerie l'unique coup-de-vent qui m'éplumerait
d'un-coup-sec d'un-coup-nue sans toi
donc
je fais la nue-noyée qui flotte
dériiiiiiiiiive
l'air bien, l'air de ne pas respirer
mais tellement essoufflée palpitée tellement-pas-morte
ton silence
amour
tu m'empétrine me piétine pétrin souriant
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