klimt |
on s'aime tant tellement que ça nous prend miron pour se le dire
des fois
mon corps comme des vallées de neiges
dévalées par tes dévorantes immaculées mains
je te découvre au bout de mon haleine
visage de matin, yeux de foin
les façons que tu me donnes,
les mots que tu me colles,
me rendent si belle
que je tombe amoureuse même de moi
mon corps poli par tes caresses
petit galet luisant de tes vagues de tendresse
de tes tsunamis d'embrassades
2 commentaires:
Noémie,
Petit Pois laisse la place à Sandrine Boréale.
À très bientôt,
Sandrine Boréale
Merci. Ça me change du reste. Ça nous prend de la poésie.
Enregistrer un commentaire